Narcisse Mouelle Kombi le ministre des sports et de l’éducation physique et ses amis n’auront la paix que lorsqu’ils auront renversé l’exécutif de Samuel Eto’o à la fédération camerounaise de football: C’EST UN SECRET DE POLICHINELLES

Le contrôle de conformité que le ministre des sports et de l’éducation physique exhibe aujourd’hui comme un trophée de guerre n’est juste qu’un paravent visant à démontrer à ses nombreux alliés qu’il contrôle la situation.

Mais en réalité, Narcisse Mouelle Kombi ne contrôle rien du tout! Cet exercice est une routine, un préalable qui a été consacré par la loi 3G, adoptée le 11 juillet 2018,celle que Bidoung Kpwatt avait fait voter au forceps au parlement, malgré les contestations des acteurs du sport, avec au premier rang l’ACFAC.

En réalité, c’est lala direction des normes et du suivi des organisations sportives (DNSOS), qui s’occupe de cette opération d’habitude banale, qui consiste à vérifier que les statuts des associations sont en parfaite adéquation avec la charte des sports.

Narcisse Mouelle Kombi le ministre des sports et de l’éducation physique qui veut jouer les gendarmes aujourd’hui gagnerait à dire aux acteurs du sport où et comment la FECAFOOT a violé la loi des sports 2018,puisque celle-ci lui a transmis la mouture des textes amendés.

Pendant qu’on y est,il convient de rappeler à l’opinion publique que le ministre des sports et de l’éducation physique s’est rendu coupable de plusieurs violations graves au sein de la FECAVOLLEY, la FECARUGBY ,la FECABOXE ,la FECABASKET ,pour ne prendre que ces cas, où il a non seulement outrepassé ses prérogatives, mais où il a également foulé au pied la loi des sports qu’il brandit aujourd’hui à la FECAFOOT.

Que Narcisse Mouelle Kombi et ses amis démontrent aux camerounais à quel niveau les membres de l’assemblée générale de la fédération camerounaise de football ont violé la loi 3G!!!

Personne n’a oublié que pour la seule fédération camerounaise de volleyball, il existe une demi douzaine de décisions de justice que Narcisse Mouelle Kombi a ignorée, parmi lesquelles une sentence rendue par la cour suprême du Cameroun.

Partager sur