Patrice Motsepe a été élu par acclamation président de la Confédération africaine de football le 12 mars 2021 à Rabat, en coulisses tout était déjà préparé, la nomination de Véron Mosengo comme Secrétaire Général de la CAF, cette nomination faisait partie des accords de rabat.
Dès l’annonce officielle de sa nomination il y’a à la surprise générale des personnes sérieuses qui se sont prononcés sur les capacités managériales de ce dernier, la preuve quelques heures après son asssistante personnelle Sandra Lattore qui est à ses côtés depuis son passage à la FIFA a été recruté dans la foulée.
Lors de la première réunion du comité exécutif de la CAF, il y a un personnage qui a fait sensation en disant clairement ce qu’il a à dire Pierre Alain Mounguengui le président de la FEGAFOOT; pendant cette réunion il a interpellé le nouveau président de la CAF pour lui dire que la nomination du secrétaire général de la CAF un employé de la FIFA était une entrave à la l’indépendance de l’institution qu’il incarne désormais et que le secrétaire général n’avait aucune capacité de gérer l’administration de la CAF.
Il avait en son temps décrié la cooptation de Seidou Mbombo Njoya comme 3ème Vice-président de la CAF en traitant ce dernier comme étant le porteur de valise de Motsepe.
Ces déclarations ont fait l’objet d’un Tollé pendant la réunion la première du comité exécutif.
Depuis ce jour sieur Mounguengui, Mosengo et Njoya se regardent en chien de faïence.
Depuis la tenue de l’élection à la FEGAFOOT qui a vu la victoire de Pierre Alain Mounguengui et ses problèmes au niveau judiciaire gabonais certaines sources disent que le secrétaire général de la CAF en complicité avec certaines personnes au Gabon sont de connivence pour faire porter les charges de pedocriminalités à Pierre Alain Mounguengui.
La dernière lettre de VÉRON MOSENGO à l’administration Gabonaise à travers son ministre des sports est de la pire hypocrisie
Si on se réfère aux récentes informations à la FIFA la Commission d’Éthique Indépendante a effectué une enquête préliminaire en raison d’allégations visant Patrick Assoumou Eyi, ancien entraîneur de la sélection gabonaise U-17, accusé de viols et autres violences sexuelles au Gabon.
Ces sanctions sont infligées en lien avec une instruction pénale actuellement menée au Gabon, où les officiels susmentionnés sont poursuivis pour des faits d’abus sexuels systématiques sur mineurs, tel que rapporté par les autorités locales et révélé par certains médias.
Si on lit bien entre les lignes le comité d’éthique de la FIFA mené de maître par Gianni Infantino qui n’a pas apprécié le comportement de Pierre Alain Mounguengui lors de la réunion COMEX , va se saisir du cas de ce dernier et va statuer sur la suspension de toute activité liée au football.
Ce plan ourdi par le secrétaire général de la CAF est en passe de réussir mais un chose est sûre aucun acte concernant Pierre Alain Mounguengui n’est avéré à ce jour .
Au Gabon Pierre Alain Mounguengui est accusé de “non-dénonciation de crimes de pédophilie”, dans le cadre d’une affaire d’abus sexuels sur des enfants visant l’ancien entraîneur Patrick Assoumou Eyi. et qu’il a lui même suspendus.